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Les amants coincés

Lors de rapports sexuels, le sexe de l’homme pourrait rester coincé dans le vagin de sa partenaire. Un phénomène que la médecine désignerait sous le terme de penis captivus (littéralement le « pénis captif »). Cet accident sexuel fait l’objet de nombreuses rumeurs et légendes urbaines, mettant notamment en scène des couples adultères. Il se retrouve également dans des récits du Moyen-âge.

1. Les amants coincés : fait-divers ou légende urbaine ?

« A cause de ‘l’effet ventouse’, un couple est resté ‘coincé’ en faisant l’amour dans l’eau », titre un article de 20 Minutes publié le 17 octobre 2014 :

Ce couple d’Italiens est resté dans l’eau, jusqu’à ce qu’ils attirent l’attention d’une femme marchant le long de la plage. Elle les a ramenés vers le rivage tant bien que mal. Puis, la promeneuse a appelé les secours, tout en donnant aux amoureux une serviette pour dissimuler leur état. A l’hôpital, la femme a reçu une injection généralement utilisée pour dilater l’utérus des femmes enceintes. Le couple a ainsi pu être « libéré ».

20 Minutes, 17 octobre 2014.

Initialement publiée par le tabloïd italien Il Mattino, cette histoire de penis captivus a fait le tour du monde. Elle illustre une rumeur bien connue : faire l’amour sous l’eau pourrait bloquer le pénis à l’intérieur du vagin par effet ventouse.

Le site de fact-checking Snopes émet des doutes sur la véracité de l’article d’Il Mattino. L’histoire manque de détails permettant sa vérification : moyens mis en œuvre pour transporter le couple, nom de l’hôpital, etc. Aucun témoignage ou propos au discours direct ne vient par ailleurs étayer le supposé fait-divers. Cette histoire n’est, enfin, pas sans rappeler la légende des « amants coincés ».

Une ressemblance troublante avec la légende urbaine des « amants coincés »

Cette légende urbaine circule depuis plusieurs décennies. On trouve des versions en Europe (Campion-Vincent et Renard, 2005), en Amérique du nord (Brunvand, 1986), mais également dans certains pays d’Afrique. Certaines mettent justement en scène des couples faisant l’amour dans des lieux insolites : dans un jacuzzi, dans une voiture et même à travers un grillage (Campion-Vincent et Renard, 2005). C’est le cas de l’histoire de ce jeune soldat qui aurait eu l’idée de retrouver sa petite amie à l’arrière de la caserne :

Pour leur malchance, ils décidèrent d’avoir des relations sexuelles à travers le grillage. Au beau milieu de leur passion, la jeune femme eut une crampe vaginale. Le couple ne pouvait pas se séparer. Ils durent appeler à l’aide et ils furent finalement libérés par un sauveteur ricanant qui les délivra avec des pinces coupantes […] et un seau d’eau froide comme on le fait pour les chiens.

Rapporté par Campion-Vincent et Renard, 2005, d’après Brednich, 1993.

Ces versions de la légende des « amants collés » ont toutes un schéma similaire : elles débutent par l’empressement du couple et s’achèvent par un penis captivus qui nécessite une intervention extérieure. La narration insiste, par ailleurs, sur la honte des amants, qui doivent être « exfiltés » d’un lieu public sous une serviette ou séparés à l’aide d’un seau d’eau froide.

Couples adultères

Le motif du couple adultère est parfois présent. Une histoire à double chute, qu’on retrouve en Angleterre, en Allemagne (Campion-Vincent et Renard, 2005) et aux États-Unis (Brunvand, 1986) à partir des années 70/80, raconte les mésaventures d’une femme qui aurait fait l’amour avec son amant à l’arrière d’une petite voiture. Se retrouvant coincé, le couple n’aurait pu être délivré qu’en découpant la carrosserie du véhicule. La femme se serait alors écriée, en sanglots : « Comment vais-je expliquer à mon mari ce qui est arrivé à sa voiture ? »

Comme de nombreuses légendes urbaines, ce récit comporte des variantes. Certaines évoquent un penis captivus. D’autres attribuent la cause du « blocage » à un lumbago et à la forte corpulence de l’amant (Brunvand, 1986).

En Afrique subsaharienne

Ce motif de l’adultère semble particulièrement présent dans les rumeurs et légendes de penis captivus circulant actuellement dans certains pays d’Afrique subsaharienne sous forme d’articles, de posts, montages photo ou vidéo, sur les réseaux sociaux et dans certains médias. Des couples adultères apparaissent ainsi collés l’un à l’autre, traversant parfois la foule recouverts d’un drap.

Dans De source sûre : nouvelles rumeurs d’aujourd’hui (2005), Véronique Campion-Vincent et Jean-Bruno Renard signalent déjà la circulation de ces légendes et leur spécificité par rapport aux versions occidentales du penis captivus. Certaines anecdotes attribuent effectivement l’accident à la sorcellerie, par l’intermédiaire du mari trompé qui aurait fait appel à un sorcier pour punir sa femme et son amant.

Répondant à cette croyance, des billets de blog ou des posts abondement copiés et collés d’un compte Facebook ou Twitter à un autre appellent à une explication rationnelle du phénomène :

Post Facebook daté de novembre 2019.

Les versions vidéos de la légende se révèlent souvent être des fictions. La mise en scène d’une troupe de théâtre haïtienne a par exemple été abondamment diffusée sur les réseaux sociaux en 2017 :

Elle a été décrite à tort comme une scène réelle, parfois sensée s’être déroulée au Kenya.

Cette diffusion illustre là un effet bien connu des légendes urbaines : la popularisation d’un motif légendaire peut entraîner sa reprise dans une œuvre de fiction. Elle peut aussi être à l’origine d’un phénomène d’ostension : l’imitation par des individus du scénario d’une rumeur ou d’une légende urbaine (Renard, 2022). Œuvres de fiction ou comportements inspirés des légendes urbaines vont, à leur tour, renforcer ou relancer la diffusion d’une légende dans la population.

A noter que les pays d’Afrique subsaharienne font partie des régions du monde où les requêtes liées au penis captivus sont les plus élevées, si on en croît Google Trends :

2. Le penis captivus : une réalité médicale ?

« En médecine, lorsque l’on a affaire à un cas qui sort un peu de l’ordinaire, les médecins le documentent, et en transmettent la description à une revue spécialisée […] Aujourd’hui, les bases de données médicales permettent facilement de retrouver ces cas. » explique Florian Gouthière, journaliste et auteur de Santé, science : doit-on tout gober ? « Or voilà : le nombre d’articles médicaux qui mentionnent [le penis captivus], depuis 150 ans, est ridiculement faible. Moins d’une dizaine. Et plus étonnant encore : la quasi totalité de ces articles médicaux sont des commentaires plus ou moins directs d’un cas unique. »

Le canular de Sir William Osler

Ce cas est rapporté par un certain Egerton Y. Davis via une lettre adressée à la revue Medical News de Philadelphie en 1884. Ainsi, un gentleman aurait surpris son cocher dans une position compromettante avec la bonne. Sous l’effet de la surprise, le couple se serait débattu sans parvenir à se détacher. Davis aurait alors fait respirer du chloroforme à la bonne, laquelle se serait détendue avant de délivrer le « pénis captif ».

William Osler par Thomas C. Corner (1865-1938), 1905. Source: The Alan Mason Chesney Medical Archives

Le plus surprenant dans cette histoire est … qu’il s’agit d’un canular, inventé par Sir William Osler. Le médecin canadien aurait voulu piéger un de ses confrères, auteur d’un article peu documenté sur le sujet, en envoyant une lettre au comité éditorial du Medical News, dont ce dernier faisait partie (Altaffer, 1983). « Osler n’imaginait pas que sa blague serait publiée, et il semble avoir tout fait pour l’éviter, mais elle a bien fini sous presse… et a connu le succès que l’on sait ! », nous informe Florian Gouthière.

Conséquence du canular : ce faux-cas est repris par des publications médicales comme, par exemple, Causes et traitement de la stérilité chez la femme du Dr. Kisch (p. 149) :

Causes et traitement de la stérilité chez la femme du Dr. Kisch (p. 149). Source : Gallica.

Des cas de penis captivus anecdotiques, voire inexistants

A la même époque, le gynécologue allemand Hildebrandt (1872) décrit un cas d’apparence plus crédible, et fréquemment cité dans la littérature médicale sur le penis captivus. Effectivement, un de ses patients lui raconte s’être retrouvé coincé avec sa partenaire de longues minutes durant le coït avant de pouvoir se libérer. Une anecdote similaire est rapportée par son confrère et compatriote Scanzoni (1870).

Du 20e siècle à aujourd’hui, les sources médicales sur d’éventuels cas de penis captivus sont plus minces : F. Kraüpl Taylor (1979) mentionne le récit d’un penis captivus qui aurait causé le suicide de deux étudiants, suite à sa révélation dans la presse, et qui aurait été publié dans la thèse d’un certain A. Plitz en 1931. Sauf qu’aucun article de presse relatif à l’anecdote n’a pu être retrouvé. Par ailleurs, Plitz ne donne pas de source. Le deuxième cas est une lettre, publiée par le British Medical Journal, en réaction à l’article de F. Kraüpl Taylor. Son auteur affirme avoir vu un cas de penis captivus lorsqu’il était employé dans un hôpital :

Rubrique Letters du British Journal of Medecine.

Ce cas tient sur 21 lignes et correspond à des faits supposés s’être déroulés plus de trente années avant leur description.

Un acte impossible anatomiquement

Ainsi, tout laisse à penser que le penis captivus est un phénomène très rare, voire inexistant. Comme l’explique Florian Gouthière :

Une verge humaine en érection est, grosso modo, un tube d’une certaine rigidité (à l’intérieur, les corps caverneux sont gonflés de sang) et dont le diamètre est constant. On ne parle pas d’un organe qui gonfle à l’intérieur du vagin, il est érigé avant la pénétration. Diamètre constant : même si l’orgasme enserre transitoirement un peu fort, se dégager est + qu’envisageable au vu de l’anatomie humaine. […] Chez d’autres espèces, c’est différent. Chez les chiens, typiquement, le bulbe constitué par le gland est très gonflé par rapport au reste de la verge (pouvant évoquer un gros bouchon de champagne). C’est la raison pour laquelle les représentants de cette espèce puissent connaître ce type de blocage. Cette situation courante a pu nourrir le mythe d’une telle mésaventure chez l’homme.

3. Interprétation du penis captivus

Le penis captivus semble davantage un motif légendaire ou littéraire qu’une réalité médicale. En témoigne sa présence dans quelques récits médiévaux et antiques, avec une dimension morale assez similaire à celle des légendes urbaines d’aujourd’hui.

Dans la littérature du Moyen-âge

Le médecin anglais et folkloriste John Davy Rolleston (1873-1946) explore les références historiques au penis captivus dans « Penis Captivus: a Historical Note ».

Handlyng Synne est un ouvrage en vers composé par le moine anglais Robert Mannyng (1275-1338), « qui traite, entre autres sujets, des Sept Péchés capitaux, illustrés par des récits tirés de sources variées* ». Dans un de ces récits, un homme et sa femme trouvent refuge dans un monastère. L’abbé les loge à côté de la chapelle, dans une chambre où les amants font l’amour. Dieu, qui n’apprécie guère cet acte accompli à proximité d’un lieu sacré, décide de les punir en les liant inextricablement l’un à l’autre. Les moines auraient réussi à les séparer par la prière. Le récit s’achève sur un avertissement : des punitions plus sévères « résulteront de la fornication – et plus encore de l’adultère de prêtres ou d’épouses lubriques* ».

Geoffroi de La Tour Landry enseignant à ses filles, enluminure provenant d’un manuscrit du XVe siècle du Livre pour l’enseignement de ses filles. Source : Wikipédia.

Deux récits similaires peuvent être lus dans Le livre du chevalier de la Tour Landry, traité d’éducation morale composé par Geoffroi de La Tour Landry à la fin du 14e siècle. Le chapitre 30 met en scène des amants coincés après avoir fait l’amour sur un autel. Il est suivi, au chapitre suivant, par l’histoire de Pigière, un moine puni de penis captivus après avoir forniqué dans une église. Ces deux récits s’achèvent par la honte qui résulte de la découverte du couple.

Un penis captivus dans L’Odyssée d’Homère ?

Enfin, on peut lire dans L’Odyssée d’Homère un passage qui rappelle le penis captivus. Le chant VIII raconte, effectivement, les amours d’Arès et d’Aphrodite, mariée à Héphaïstos. Pour piéger les deux amants, le dieu du feu et de la forge a l’idée de tisser un réseau de chaînes, fin comme des fils d’araignée, autour du lit de noces. « Nul n’y eût pu rien voir, / Même un dieu malheureux, tant son ouvrage était retors », précise L’Odyssée. Il feint ensuite de « gagner la citadelle de Lemnos ». Arès rejoint alors Aphrodite. Au moment de se livrer aux joies de l’amour, les amants ne peuvent plus se mouvoir. Ivre de rage, Héphaïstos ameute tous les dieux. Ces derniers découvrent dans l’hilarité générale le piège tendu par le mari bafoué.

Cet épisode des amours d’Aphrodite et d’Arès a inspiré de nombreux artistes dont Maarten van Heemskerck (1536)

Punition de l’infidélité et des déviances sexuelles

On constate des similitudes intéressantes entre ces récits et les légendes urbaines de penis captivus, qui circulent encore aujourd’hui. Elles mettent effectivement en scène des actes jugés immoraux ou déviants : adultère, actes sexuels accomplis dans des lieux publics ou inappropriés par des « couples pressés ». Le penis captivus intervient alors comme une punition, provoquée par la colère de Dieu ou un mari bafoué, faisant appel à des forces surnaturelles ou non. Dans les légendes contemporaines diffusées en Occident, où le surnaturel est moins présent, on voit l’intervention d’une justice immanente.

Ce mécanisme est très fréquent dans les légendes urbaines sexuelles (voir nos articles sur les enterrements de vie de jeunesse et Raggot le hamster ; ainsi que Campion-Vincent et Renard, 2005). En tant que procédé littéraire, il affirme le lien inévitable entre une mauvaise action et sa sanction. Il prend souvent la forme d’une ironie du sort, sans intervention divine ou humaine : l’infidélité peut-être révélée par un penis captivus, une mort survenue dans des circonstances compromettantes, etc.

Qu’ils soient punis par Dieu, un mari bafoué, un sorcier ou une simple ironie du sort, nos amants frappés de penis captivus sont doublement punis par le sentiment de honte. Ils sont, effectivement, contraint à l’immobilité et/ou doivent solliciter une aide extérieure, et se trouvent ainsi exposés nus, liés l’un à l’autre.

Une légende en perte de vitesse ?

Bien que le motif des déviances sexuelles ou de l’infidélité punies perdurent, aujourd’hui, dans ces récits, il est probable que nous les partagions avant tout parce qu’ils nous amusent ou parce qu’on se demande réellement s’il est possible de rester « coincés » au cours du coït. Et sans doute pas, ou peu, pour leur fond moral. On peut, sur ce point, constater que la légende urbaine des amants coincés est actuellement moins répandue sur l’Internet et les réseaux sociaux français**, au contraire de sa version rumorale. En témoignent les nombreux articles de sites et magazines people, féminins ou dédiés à la sexualité qui s’interrogent sur la véracité de cet accident sexuel, et les moyens de l’éviter.

* Traduit par nos soins.

** C’est du moins ce que nous avons constaté à travers nos requêtes sur Google, Twitter, Facebook avec des mots-clés ciblant à la fois la version rumorale (affirmation vraie ou fausse) et légendaire du penis captivus (récit structuré).

Sources :

« A cause de «l’effet ventouse», un couple est resté «coincé» en faisant l’amour dans l’eau ». 2014. 20 Minutes. 17 octobre 2014. https://www.20minutes.fr/insolite/1463243-20141017-cause-effet-ventouse-couple-reste-coince-faisant-amour-eau.

Altaffer, L. F. 1983. « Penis Captivus and the Mischievous Sir William Osler ». Southern Medical Journal 76 (5): 637‑41. https://doi.org/10.1097/00007611-198305000-00026.

Avèkes, Binason. 2015. « Le Penis Captivus ou l’Afrique et la Pensée Magique ». 26 février 2015. https://babilown.com/2015/02/26/le-penis-captivus-ou-lafrique-et-la-pense-magique/.

Brunvand, Jan Harold. 1986. « The Stuck Couple ». In The Chocking Doberman, 142‑45. Norton.

Campion-Vincent, Véronique, et Jean-Bruno Renard. 2005. « Rumeurs et légendes sexuelles ». In De source sûre : nouvelles rumeurs d’aujourd’hui, 217‑58. Payot & Rivages.

« Fanno sesso in mare e rimangono incastrati, coppia finisce in ospedale a Fermo ». 2014. Il Mattino. 15 octobre 2014. https://www.ilmattino.it/primopiano/cronaca/fermo_sesso_mare_lido_di_fermo_incastrati-642655.html.

Gouthière, Florian. 2017. « Idées reçues, mythes et légendes en-dessous de la ceinture… ». Curiologie (blog). 21 avril 2017. https://curiologie.fr/blog/2017/04/21/mythes-mediculs/.

Hildebrandt. 1872. Archiv für Gynäkologie, 1872, sect. 3.

Homère, et Philippe Jaccottet. 2017. L’Odyssée. La Découverte.

Kisch, Enoch Heinrich (Dr). 1888. Causes et traitement de la stérilité chez la femme. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57559793.

Mannyng, Robert. 2006. Robert of Brunne’s « Handlyng synne ». http://name.umdl.umich.edu/AHA2735.0001.001.

Mikkelson, David. 2000a. « Stuck Couple ». Snopes. 23 janvier 2000. https://www.snopes.com/fact-check/tryst-and-shout/.

———. 2000b. « Penis Captivus ». Snopes. 4 août 2000. https://www.snopes.com/fact-check/penis-captivus/.

———. 2014. « Ocean Romance Gets Couple “Stuck” ». Snopes. 20 octobre 2014. https://www.snopes.com/fact-check/contractual-hold/.

Musgrave, B. 1980. « Penis captivus has occurred. » British Medical Journal 280 (6206): 51.

Rolleston, J. D. 1991. « Penis Captivus: A Historical Note ». In Sex in the Middle Ages. Routledge.

Scanzoni. 1870. Beiträge zur Geburtskunde und Gynäkologie, 1870, sect. 7.

Taylor, F. K. 1979. « Penis Captivus–Did It Occur? » British Medical Journal 2 (6196): 977‑78. https://doi.org/10.1136/bmj.2.6196.977.

Tour-Landry, Geoffroy de La. 1854a. « Chapitre XXXVe : De ceulx qui firent fornication en l’esglise ». In Livre du chevalier de la Tour Landry, 80. Paris: P. Jannet.

———. 1854b. « Chappitre XXXVIe Du moine qui fist fornication en l’eglise ». In Livre du chevalier de la Tour Landry, 81‑82. Paris: P. Jannet.

« Un couple “collé” en plein acte sexuel et transporté sur une charrette bouleverse le Web: voici ce qui s’est réellement passé (vidéo) ». 2017. sudinfo.be. 5 avril 2017. https://www.sudinfo.be/art/1820294/article/2017-04-05/un-couple-colle-en-plein-acte-sexuel-et-transporte-sur-une-charrette-bouleverse.

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